Quand le médico-social prend soin aussi de la planète : l’aventure de la RSO et de la sobriété numériquePrendre soin des autres, c’est la mission première d’une association médico-sociale. Mais chez
- sandrabodinferre
- 9 sept.
- 2 min de lecture
Prendre soin des autres, c’est la mission première d’une association médico-sociale.
Cette mission ne s’arrête pas aux bénéficiaires : elle s’élargit à la société tout entière, et même à la planète.
C’est là qu’entrent en jeu deux piliers qui transforment profondément les pratiques : la Responsabilité Sociétale des Organisations (RSO) et la sobriété numérique.

Une conviction simple : on ne soigne pas dans un monde malade
Comment prétendre accompagner les plus fragiles si l’on ferme les yeux sur la fragilité de notre environnement ?
Pour l’association, cette question n’est pas théorique.
Elle guide des choix concrets : consommer moins de ressources, créer des lieux de travail plus respectueux, donner du sens au quotidien des équipes.
Ici, la RSO n’est pas un concept à la mode, mais une boussole qui oriente chaque geste.
La sobriété numérique : petite révolution, grands impacts
Nos ordinateurs, nos smartphones, nos e-mails… ils semblent immatériels.
Pourtant, leur empreinte écologique est bien réelle.
Dans un secteur où les outils numériques sont devenus indispensables, certaines associations ont décidés de changer de regard :
Faire durer les équipements plutôt que les remplacer trop vite.
Apprendre à ses équipes les bons réflexes pour alléger leurs pratiques numériques.
Concevoir autrement les services digitaux, en pensant sobriété dès le départ.
Ces actions peuvent sembler modestes, mais additionnées, elles dessinent une révolution douce : un numérique au service de l’humain, sans gaspillage inutile.
Pourquoi ça inspire ?
Parce qu’il y a une cohérence lumineuse.
L’association ne se contente pas de « parler » de solidarité : elle la vit jusque dans son rapport à l’environnement.
Chaque ordinateur réparé
, chaque mail allégé, chaque geste repensé raconte la même histoire : celle d’un soin élargi, qui prend en compte l’ensemble du vivant.
Et si on s’y mettait tous ?
Ce qui est le plus inspirant, ce n’est pas seulement ce que fait l’association.
C’est le message envoyé : la transition écologique n’est pas réservée aux géants de l’économie ou aux experts du climat.
Elle est accessible à tous – entreprises, associations, citoyens.
Et si, comme elle, nous commencions par regarder nos usages numériques ?
Si nous acceptions que la sobriété, loin d’être une contrainte, puisse devenir une promesse : celle d’un monde plus simple, plus solidaire et plus durable ?
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