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Comparaison des émissions de CO2 : Google vs ChatGPT

  • sandrabodinferre
  • 11 mars
  • 2 min de lecture

Avec la numérisation croissante de nos sociétés, les services en ligne jouent un rôle essentiel dans notre quotidien. Mais leur impact environnemental est souvent sous-estimé.

Parmi les services les plus utilisés, les moteurs de recherche comme Google et les modèles d'intelligence artificielle comme ChatGPT ont chacun une empreinte carbone.


Mais laquelle est la plus importante ?





L'empreinte carbone d'une requête Google


Google traite environ 8,5 milliards de recherches par jour.


Selon une étude de 2009 de Google, une requête de recherche standard émet environ 0,2 gramme de CO2.

Des améliorations en efficacité énergétique et une augmentation de l'utilisation d'énergies renouvelables ont pu réduire cette valeur, mais l'ordre de grandeur reste le même.



L'empreinte carbone d'une requête ChatGPT


Les modèles d'intelligence artificielle comme ChatGPT consomment plus d'énergie que les moteurs de recherche traditionnels.

Une estimation basée sur les besoins énergétiques des centres de données et des modèles


IA suggère qu'une requête ChatGPT peut émettre entre 2 et 10 grammes de CO2, soit jusqu'à 50 fois plus qu'une requête Google.


Pourquoi une telle différence ?


La différence d'empreinte carbone s'explique par plusieurs facteurs :

  • Complexité du traitement : Une recherche Google repose sur l'indexation et le classement de pages web, un processus optimisé depuis des années.

    ChatGPT, en revanche, génère des réponses dynamiquement en activant des milliards de paramètres dans un réseau neuronal.


  • Consommation des serveurs : Les grands modèles de langage (LLM) nécessitent des serveurs hautement performants, utilisant des GPU coûteux en énergie.


  • Durée de traitement : Une recherche Google prend quelques millisecondes, tandis qu'une réponse de ChatGPT peut durer plusieurs secondes, augmentant la consommation d'énergie.



Peut-on réduire l'impact carbone de l'IA ?


Des efforts sont déployés pour réduire l'impact environnemental de l'IA :


  • Optimisation des modèles pour réduire la consommation énergétique.

  • Utilisation d'énergies renouvelables dans les centres de données.

  • Amélioration de l'efficacité des algorithmes pour réduire le nombre de calculs nécessaires.


Si Google reste plus efficace énergétiquement que ChatGPT pour des requêtes simples, les IA conversationnelles apportent une valeur ajoutée en termes de contextualisation et de génération de contenu.



L'avenir passera par une IA plus verte, optimisant son empreinte carbone sans sacrifier ses capacités.



« Allez, viens on sème | www.sandrabodin.com »

 
 
 

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Sandra BODIN

Consultante  en Développement durable & Responsabilité Sociétale des Entreprises RSE

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